Voici donc la remplaçante de la 599 GTB (qui cède sa place après six petites années de carrière) : la F12 Berlinetta.

Et elle a prévu de recadrer l’outrecuidante Lamborghini Aventador (faudra que je pense à lui dédier un article) et ses 700 cv :

Son nouveau V12 de 6300 cm3 développe 740 ch soit 118 ch au litre et peut prendre 8700 tr/min ! Et un couple du même acabit : il atteint 690 Nm, dont 80 % sont disponibles dès 2.500 tr/min.
Nous avons là, la plus puissante Ferrari de route jamais produite (les FXX n’étant pas dans cette catégorie). Changement d’époque, la F12 n’est disponible qu’avec la boîte séquentielle F1.

Comme la 599 GTB, la F12 Berlinetta reste une propulsion. Elle est par contre plus compacte que sa devancière (4,61 m de long (5 cm de moins), 1,94 m de large (2 cm de moins) et 1,27 m de haut (5 cm de moins). Son centre de gravité a été abaissé, son excellent Cx 0,30 amélioré et sa masse réduite de 70 kg (1525 kg).

Les performances à présent : la F12 Berlinetta expédie le 0 à 100 km/h en 3,1 secondes, le 0 à 200 km/h en 8,5 secondes et le circuit de Fiorano en 1,23 minute !
Vitesse maxi : 340 km/h.

Les lignes sont signées Pininfarina. Le dessin est marqué par les courbes prolongeant les passages de roues. Elles semblent avoir une fonction aérodynamique et prolongent celle du capot via un « tunnel » entre l’aile avant et la baie de pare-brise. Sans doute servent elles la stabilité à haute vitesse en canalisant les flux d’air pour générer de l’appui (mais, je ne suis pas aérodynamicien, et si ça se trouve je m’égare carrément !).

En plus, il parait qu’elle pollue et consomme moins que la précédente !

Alors que demande le peuple ?

(oui, je sais, du pognon pour l’acheter…)

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